Stéphane, ingénieur
« Anne, Je poursuis la lecture de ton livre mais j’ai tellement de belles choses à dire que je commence sur le site… Je te fais donc part de mes impressions "en cours de lecture" et je commence par … Merci beaucoup pour ce « bijou » de littérature des temps modernes … Je me régale et comme tous les bons livres, en ayant passé la moitié, j’appréhende déjà la fin en me disant que la perspective de quitter ce livre ne me convient pas du tout … Du coup je le susurre … et me délecte des résonnances culturelles, philosophiques et autres, cachées dans un texte très agréable à lire et pas du tout « pompeux », malgré la profondeur et la complexité du sujet abordé… Une maitrise impressionnante du Dia-logos, de la complémentarité à laquelle ouvre le « Logos » … BRAVO, je sens ici s’exprimer toute la profondeur de ta pensée et ton Amour du monde sous la forme d’un langage actuel … Et tu me fais vivre l’impression que devait avoir un lecteur de « l’utopie » de Thomas More en son temps … Je vais faire ce cadeau à pas mal de mes amis … Bises et encore merci Stéphane »
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Je t’avais promis de poursuivre mon premier message écrit lorsque j’étais en pleine lecture de ton livre et, l’ayant fini depuis bien longtemps, quitté avec le cœur triste tellement je me suis régalé, le temps a passé et je n’ai pas tenu mon engagement,….
Mais depuis, j’ai conseillé « l’Ere du Levant » à pas mal d’amis et, cette année, il fait partie des livres que j’offre à noël à mon entourage proche (de 15 à 85 ans !). J’en ai commandé plusieurs qui me seront livrés la semaine prochaine.
Bon ce soir, je « laisse le temps des devoirs et des obligations en suspens » (p237), pour te dire que ma première sensation de lecture a été confirmée jusqu’à le fin du livre. Je ne change donc rien à mes commentaires précédant et à mon bravo initial !
J’aime cet ouvrage car il aborde, dans un langage accessible, des problématiques liées à nos choix de vie, en liant « le corps et l’esprit », en faisant bien ressentir l’importance « de connaître le chemin en cheminant » (p259), « à œuvrer par nature et non par volonté ».
Merci aussi car il nous rappelle, en faisant résonner en nous avec tact, que « l’énergie primordiale du monde gît au-delà des perceptions sensibles … pour mettre à défi l’illusion matérialiste », ou que « l’asservi qui omet de se révolter est aussi coupable que son bourreau ; qu’il entretient, par son inertie, un ordre du monde injuste », …et tant d’autres choses aussi fondamentales que l’on a tendance à ne pas mettre au juste niveau de priorité dans la vie.
Bises de fin d’année et surtout tiens moi au courant de tes autres écrits, je suis impatient de les « déguster » !